Martaa.

'No tuve el cielo pero te tuve en mi cama y con eso me bastaba no necesitaba nada.'

miércoles, 25 de noviembre de 2009


















Mon exil./














Et chaque matin que je me lève
Et me penche sur toi
Une goutte de rosée à tes lèvres
Un rayon au bout de tes doigts
J'arrive a lire dans tes rêves
Et tu penses pareil que moi
Un exil
Un exil
Loin ... loin de la
Et je le jure sur le soleil
Qui se lève au dessus des toits
Qu'on s'en ira ... qu'on s'en ira , loin de la, oui crois moi
Oooh mon égérie
Quittons ce bitume
Qui nous rend gris
Nous abrutis et salit nos plumes
Oooh toutes ces prairies
Si près d'ou je viens, si loin d'ou je suis
Si loin d'ou je suis, si près d'ou je viens
Et chaque soir que je m'endort
Et te serre contre moi
J'observe les courbes de ton corps
Me rappellant les dunes d'autrefois
Peu à petit songe s'évapore
Et tu penses pareil que moi
Un exil
Un exil
Loin ... loin de la
Et je le jure sur les étoiles
Qui brillent au dessus des toits
Qu'on s'en ira ... qu'on s'en ira, loin de la, oui crois moi
Oooh mon égérie
Quittons ce bitume
Qui nous rend gris
Nous abrutis et salit nos plumes
Oooh toutes ces prairies
Si près d'ou je viens, si loin d'ou je suis
Si loin d'ou je suis, si près d'ou je viens
Et chaque matin que je me lève
Et me penche sur toi
Une goutte de rosée à tes lèvres
Un rayon au bout de tes doigts
J'arrive a lire dans tes rêves
Et tu penses pareil que moi

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Los grandes espíritus siempre han tenido que luchar contra la oposición feroz de mentes mediocres.